Javais 10 ans à Bergen-Belsen. L'horreur qu'il a vécue enfant hante toujours ses nuits. Sa vie. À près de 90 ans, Léon Placek n'a pas oublié ce qu'il a subi pendant la Seconde Guerre mondiale. L'étoile jaune, la dénonciation, le commissariat de police de son quartier, à Paris, puis l'internement à Drancy et le départ en train vers l
Accompagnéede son avocat Shawn Holley, la demi-sœur de Kim Kardashian a livré son témoignage, affirmant qu’elle avait été traumatisée par l’intrusion de Shavaughn Mackenzie à son
LivrerSon Témoignage À La Police - CodyCross La solution à ce puzzle est constituéè de 7 lettres et commence par la lettre D CodyCross Solution pour LIVRER SON TÉMOIGNAGE À LA POLICE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle
cash. Attaque à la préfecture le témoignage glaçant du policier qui a neutralisé Mickaël Harpon 000139 C'était jeudi 3 octobre un jeune gardien de la paix de 24 ans, sorti depuis six jours à peine de l'école de police mettait fin au parcours meurtrier de Mickaël Harpon dans la cour de la préfecture de police de Paris. Le terroriste venait de tuer quatre personnes en 7 minutes, et le jeune policier l'a abattu. RTL révèle ce que ce jeune homme de 24 ans a raconté lors de son audition, quelques heures seulement après l'attaque. Devant les enquêteurs de la Brigade criminelle il a livré un témoignage glaçant sur son face- à -face avec Mickaël Harpon. Il explique d’abord que quand le terroriste passe à l’action, un peu avant 13h, il est alors en surveillance à l’entrée de la préfecture de police. Une femme arrive vers lui en larmes complètement affolée en criant "venez vite il y a un terroriste dans la préfecture il a déjà poignardé plusieurs collègues". Il se précipite dans la cour, il aperçoit Mickaël Harpon avec son couteau et ses habits totalement maculés de sang. Un autre homme est alors en train d’essayer de calmer le terroriste qui est toujours menaçant. Le jeune policer, son arme longue à l’épaule, adresse plusieurs sommations. Mickaël Harpon se retourne vers lui le regarde dans les yeux un regard "vide" et "déterminé". "Il semblait possédé", décrit le jeune policier aux enquêteurs de la Brigade. Une dizaine de sommationsMickaël Harpon se met alors à marcher doucement à petit pas vers lui. Le policier qui a toujours son arme à l’épaule lui hurle les sommations à nouveau, une dizaine de fois en tout. Mais le terroriste ne s’arrête pas. Il tient son couteau ensanglanté en l’air il s’est rapproché à ce moment à 5 mètre de lui. C’est quand il se met d’un seul à courir que le jeune policer fait feu un premier coup qui touche le terroriste au torse, un deuxième au ventre, et Mickaël Harpon s’effondre. Le jeune gardien de la paix avec un sang-froid exceptionnel vient de mettre fin à l’attaque. Dans son audition, il explique aux enquêteurs qu’il est à ce moment-là très choqué, en leur rappelant que jeudi dernier il n’était policier que depuis 6 jours. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
La première victime a enregistré son témoignage par video, de sorte à ne pas devoir se rendre à la cour. Dans celui-ci, elle raconte comment elle a rencontré Benjamin Mendy et ce qu’il s’est passé entre eux. Tout a commencé en 2017 à Barcelone quand la victime a fait la connaissance de Benjamin Mendy et ses amis. Là , elle échange davantage avec Diacko Fofana un joueur formé au Havre avec Mendy, qu’avec le français lui-même. Un an plus tard, ils se retrouvent dans un restaurant. Diacko Fofana et Benjamin Mendy jouaient à des jeux d’alcool avant de prendre la direction de deux boîtes de nuit. La plaignante les a suivis et s’est retrouvée avec Fofana et Mendy. Ce dernier serait venu lui dire Quand il ne regardera pas, je te kidnapperai ». En fin de soirée, ils sont tous rentrés au domicile de Benjamin Mendy. La victime a affirmé à la police qu’elle était ivre mais consciente. Le lendemain matin, elle se réveille et prend la direction de la salle de bain pour prendre une douche. Elle racontait que c’était à ce moment là que Benjamin Mendy est entré dans la pièce. Elle, qui s’est couvert d’une serviette, raconte que Mendy l’empêchait de se rhabiller. Il se serait lui-aussi déshabillé entièrement alors qu’elle lui demandait d’arrêter et qu’elle le repoussait. Il s’est assis sur le lit et m’a mise sur lui », ajoute-t-elle. La victime informe également la police que Mendy lui disait qu’elle n’avait pas à avoir peur et qu’il n’allait rien lui faire. Elle raconte également que l’international français n’avait pas dormi seul la nuit précédente. Il était avec une jolie fille la nuit d’avant, je ne sais pas ce qu’il lui est arrivé ». Toujours d’après la victime, Benjamin Mendy aurait refusé qu’elle appelle un chauffeur et que son chauffeur personnel allait la redéposer près de la gare la plus proche. J’ai essayé de prendre mes distances, mais il n’arrêtait pas de me suivre », dit-elle encore. L’une des avocates de Benjamin Mendy, Eleanor Laws, s’est également exprimée dans un enregistrement. Elle a répondu à la plaignante qu’ils étaient simplement à deux dans le lit et que ce n’était qu’un flirt et qu’elle aurait pu partir à tout moment. Ce à quoi la principale intéressée répondait encore qu’elle était retenue par le défenseur français. Mme Laws a également demandé à la victime pourquoi elle n’a pas autorisé la police à regarder dans son téléphone. Cette dernière répondit qu’elle ne voulait pas que la police voit les photos où elle pose nue et que ce n’était nullement pour cacher certains messages. Et quand le procureur a demandé à la victime comment elle sentait Benjamin Mendy dans la salle de bain, celle-ci répondait qu’il était hors de contrôle ». J’ai répété stop et non plusieurs fois sans être entendue. » Ce jeudi, l’une des 13 accusatrices sera confrontée physiquement à son bourreau.
Elle admet souffrir en réalité d'une inflammation à un doigt. ElMundo Catalogne son témoignage sur ses doigts brisés par la police avait indigné l'Espagne, elle fait marche arrière ElMundo ESPAGNE - Elle est devenue l'une des symboles de la répression policière en Catalogne lors du référendum sur l'indépendance de la région dimanche 1er octobre. Marta Torrecillas fait partie des 900 manifestants -selon l'exécutif séparatiste catalan- blessés par les forces de l'ordre, pour lesquels la région se mobilise à travers des manifestations monstres mardi 3 octobre. Prise au milieu des tensions entre forces de l'ordre et électeurs dans l'un des bureaux de vote, Marta Torrecillas a été filmée en train de se faire violemment expulser par la police. Elle tentait de protéger les personnes âgées et les enfants devant la force avec laquelle les autorités évacuaient l'Institut Pau Claris dans le quartier d'Eixample de Barcelone, comme elle l'a raconté quelques instants après dans un message vocal laissé à la mère d'un ami. "Écoute, je défendais les personnes âgées et les enfants parce qu'ils les frappaient, ils m'ont attrapée, m'ont brisé les doigts un par un, m'ont traînée au milieu des escaliers avec les vêtements relevés, m'ont touché les seins et ont ri, puis m'ont frappée. Raconte le à tout le monde, ils m'ont brisé les doigts un par un, j'ai vraiment mal, vraiment, vraiment mal", l'entend-on dire au téléphone, dans un enregistrement obtenu par La Vanguardia. Quelques heures après les faits, certains médias espagnols ont commencé à douter de la version de la jeune femme, en s'appuyant sur l'enregistrement vidéo. "A aucun moment, on ne voit le policier toucher ses seins ou en rire. Mais le plus curieux de tout, c'est que l'agent attrape la main droite de la victime alors qu'elle apparaît plus tard avec la main gauche bandée", écrit par exemple El Mundo. Invitée sur le plateau de la chaîne espagnole TV3 le lendemain, la jeune femme de 33 ans a voulu préciser les faits. "A ce moment-là , j'ai été très blessée et je disais qu'on m'avait cassé les doigts parce que c'est la première chose qui vous arrive quand vous êtes dans cette situation", explique-t-elle avant de révéler souffrir en réalité d'une "inflammation" à l'un de ses doigts, appelée "capsulite" "vos doigts restent raides et vous ne pouvez pas les déplacer. C'est ce qu'ils m'ont fait." Un témoignage qui fait quelque peu écho à certaines images mensongères partagées sur les réseaux sociaux à l'occasion du référendum. Les décodeurs du Monde prennent l'exemple de plusieurs vidéos ou photos chocs datant de 2012 ou 2011 manipulées et partagées pour montrer les violents affrontements du dimanche 1er octobre. Quoiqu'il en soit, les Catalans sont dans la rue mardi 3 octobre pour protester contre les "vraies" violences policières constatées lors du référendum. Elles ont fait près de 900 blessés, dont 33 policiers.
livrer son témoignage à la police